Autostoppeur
Autostoppeur
Ça vous est déjà arrivé de vous arrêter sans savoir pourquoi devant un type qui fait du stop ?
Moi c'était la semaine dernière et avec cette chaleur, le mec, que je trouvais carrément mignon, en sueur avec son sac à dos et son bob de randonneur. Alors j'ai pas pu me contrôler et j'me suis arrêté. C'était trop tentant. Il avait la 30aine, un visage de gentil garçon, assez carré sans être musclé pour autant. Il avait un sourire qui m'a ravagé le coeur et qui m'a collé une demi molle d'entrée de jeux quand il est monté dans la voiture.
J'avais repéré un arc en ciel 🌈 cousu sur son sac à dos, quand il l'a mis sur la banquette arrière, alors pour moi l'entrée en matière était déjà faite. Je lui dis « t'aimes les mecs? Je l'ai vu sur ton sac. » il me répond que oui, avant il était bi mais là il penchait de plus en plus pour les hommes. Et il me demande si ça me gênait. Haha, tu penses que non, qu'elle idée! Je lui dis que moi je suis gay depuis toujours. Et je rajoute « en plus la avec ces temps, les mecs tors nus sur le bord de la route, ça me donne doublement chaud ». Il rigole… quel beau mec ! Et comme j'avais la main sur le levier de vitesse, il laisse la sienne effleurer la mienne. Telle une araignée fondant sur sa proie, je lui prends la main au vol et je lui caresse en la posant sur sa cuisse. Puis je lui caresse la cuisse en remontant vers l'entrejambe. Il pose alors sa main directement sur le haut de la cuisse et comme il s'était rapproché de moi, je sentais son odeur, mélange d'un parfum agréable et de transpiration, mais ça allait.
Je lui dis, « si t'es chaud toi aussi, on s'arrête. Y'a un vieux lavoir pas loin. ». Il me répond qu'il en a trop envie. Haha pas de problème mon gars.
On s'arrête au vieux lavoir, perdu dans des buissons et des ronces. Mais peu importe, on allait pas laver notre linge.
On sort de la voiture et il me demande si je connais l'endroit. « Oui, j'y suis venu quelques fois avec un pote qui habite pas loin, c'est tranquille ici ».
On se met à l'ombre et je le prends pr la main pour l'attirer vers moi (il regardait la charpente et les pierres… mais j'suis pas guide touristique moi!). Je le prend dans mes bras et les siens se mettent autour de ma taille. Je lui dis « j'suis trop chaud, j'ai envie de toi » puis nos visages se rapprochent et sans qu'il ait le temps de me répondre je lui colle mes lèvres sur les siennes. Une benne vieille pelle baveuse de derrière les fagots fait toujours du bien pour entrer en matière. Il se retire et me dit « et moi j'ai trop la dalle, je boufferais n'importe quoi »
Je lui réponds « j'ai de quoi de rassasier alors, si t'es gourmand ».
Puis on se rembrasse à nouveau et l'enserrant dans les bras, j'avais la main droite qui le tenait derrière la nuque tandis que la gauche était sur ses fesses pour que son paquet se frotte bien au mien. Et je sentais que sa queue gonflait à travers son short. Il enlève son teeshirt et moi le mien. Son corps et trop beau. Pas trop musclé mais le style rugbyman amateur. Moi j'ai plutôt le corp d'un daddy mais ça avait l'air de lui plaire. Qu'a cela ne tienne il baisse son short et moi mon pentalon et on voit mieux nos queue à travers nos boxers. Puis il me sort ma bite du boxer, elle laissait un fil s'écouler du gland. Il faut dire que je mouille pas mal. Puis je lui dis « suce moi ». Ce que de toutes façons il comptait faire. Il se baisse et commence à titiller le gland du bout de sa langue. Comme c'était bon, ça chatouillait légèrement et ça me rendant complètement fou. Il fallait qu'il l'avale. Je le prends alors par la nuque et le pousse doucement à la prendre en bouche, ce qu'il fait. Hummm trop bon. On a beau dire, même quand il fait ch, mais se mettre la bite dans une bouche accueillante c'est quand même bon. Je bandais bien et il me pompais goulûment. Il aimait ça ce petit salaud. Il gémissait de plaisir. Il me suçait en fond de gorge puis s'occupait de mon gland. C'était trop bon.
Voyant venir le moment fatidique, je lui retire la queue de la bouche et le remonte vers moi pour lui rouler encore une pelle. Il avait le goût de ma bite. Ça m'excitait.
À moi maintenant de jouer avec sa queue. J'en sorti le bout du haut du boxer puis je descends doucement le long de son torse jusqu'à son engin que je libère de son vêtement. Une belle bite pas très grande mais bien proportionnée. Lui aussi il mouillait. Je lui prends directement en bouche et l'avale en lui mettant une légère sucions. Il a apprécié. J'ai récolté de sa mouille en bouche ce qui me permettait de lubrifier ma bouche qui était un peu sèche.
Je le pompe comme ça avec cette légère sucion pendant 1 ou 2 minutes et puis je ne sais pas ce qu'il m'a pris mais j'avais envie qu'il l'encule. D'habitude c'est toujours moi qui sodomise l'autre mais là il m'avait ouvert les'chacras… je lui dis, vas-y baise moi.
Je me penche alors sur le rebord en pierre du lavoir et il se colle à moi en me serrant très fort. Je sentais sa queue toute raide contre ma raie. Ma bite goûtait de la mouille à plus en pouvoir. Puis il s'enlève et commence à me lécher le trou qui était déjà bien dilaté. Je lui dis « vas y, perd pas de temps »
Il se relève crache sur sa queue qu'il frotte contre mon trou et commence en pousser pour la rentrer. J'avais tellement faim qu'elle est entrée presque d'un coup. Je sentais son gland puis sa verge progressivement entrer en moi jusqu'au bout et lui qui se collait contre moi. Je rensentais à la fois la douleur et le plaisir qui me faisait pousser un gémissement de bonheur. J'avais qu'une envie, qu'il me baise comme sa pute. Alors il commence les va et vient. À chaque fois la douleur devenait moins importante jusqu'à laisser complètement place au plaisir. Il aimait ça lui aussi car il gémissait. Et moi je couinais. Je ne pensais pas que je pouvais aimer la sodomie à se point la.
Nos corps transpirants se frottaient, ses coups de reins devenaient de plus en plus forts et je sentais qu'il allait jouir alors je le retire. Et me tourne vers lui.
On s'embrasse et je le branle en même temps. Et alors qu'on était en train de se rouler une pelle je sentais sa respiration s'accélérer et devenir plus violente. Je m'émets alors à côté de lui juste à temps pour le laisser jouir sans retenu. Un jet de sperme, puis un autre lui secoue tout le corps. Des râles accompagnent sa jouissance et un troisième jet plus court. Puis quelques goutes et un 4 ieme jet !! Ça ne s'arrête plus putain !! Je lui glisse un doigt dans le cul pour masser la prostate et précipiter les dernières goûtes qu'il expulse avec un râle de plaisir. Il ne s'attendait pas à mon doigt.
Puis, essoufflé, il revient face contre moi et m'embrasse. Puis il me dit. « Maintenant c'est à ton tour ».
Il se remet à croupi devant ma queue qui avait un peu débandé mais restait très humide. Il la prend direct en bouche et la pompe sauvagement, ce qui ne manqua pas de la raidir à nouveau. Il le passait la main sous les couilles jusqu'à mon trou du cul, ce qui me provoque l'électrochoc. Je voulais me retirer mais il restait solidement agrippé à la queue alors dans un spams qui me secoue, je sens mes muscles se raidir, je râle, je ne me contrôle plus, et lui balance mon jus dans la bouche. Il me prend en fond de gorge et avale les giclées que je lui mets, moi ne me contrôlant plus, les mains sur sa tête pour qu'il ne s'enlève pas et que ce moment dure longtemps.
Puis il retire la queue de sa bouche, avale ce qu'il avait en bouche et reprend ma bite pour bien la nettoyer.
Putain quel plaisir !!!
On avait nos corps tout transpirants!
Il se relève et on s'embrasse encore, tout fatigués de ce sport par une telle chaleur.
On se rhabille puis on va dans la voiture. On se reroule encore une pelle et on repart.
Arrive là où je le déposais, on se rembrasse.
Il me disait qu'il recommencerait à faire du stop sur cette route.
Alors c'est une route que je risque d'emprunter souvent.
