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Chapitre 2 : Échos Numériques

Le lendemain matin, le soleil filtrait à travers les rideaux de la chambre de Lilian, un appartement modeste en banlieue, où le silence était rompu seulement par le bourdonnement distant de la circulation. Lilian, encore nu sous les draps froissés, s'étira langoureusement, son corps endolori par les souvenirs de la veille. À quarante-cinq ans, il se sentait vivant comme jamais, son cul encore sensible des assauts passionnés de Claude. Il repensait à la maison abandonnée, à la façon dont Claude l'avait pris avec une force brute, remplissant chaque centimètre de lui, le faisant gémir comme une bête en chaleur. Son sexe durcit rien qu'à l'idée, et il caressa distraitement son torse poilu, effleurant les marques légères laissées par les mains possessives de l'homme plus âgé.Son téléphone vibra sur la table de nuit. Un message inconnu, mais il savait qui c'était. Ils avaient échangé leurs numéros juste avant de partir, dans un murmure essoufflé, promettant de se recontacter. Lilian sourit, un frisson d'excitation le traversant. Il ouvrit l'application de messagerie.
Claude : Hé, beau gosse. Rentré sans encombre ? Je n'arrête pas de penser à hier soir. Ton cul était divin, serré et chaud autour de ma bite. J'ai encore le goût de ta bouche sur moi.Lilian sentit une vague de chaleur monter en lui. Il s'assit contre la tête de lit, son membre maintenant pleinement érigé, palpitant contre son ventre. Il tapa une réponse, ses doigts tremblants légèrement d'anticipation.
Lilian : Ouais, rentré entier, mais avec des souvenirs qui me font bander ce matin. Putain, Claude, ta queue m'a défoncé comme jamais. J'ai encore mal, mais c'est le genre de douleur qui me donne envie de plus. T'étais sauvage, j'ai adoré quand tu m'as doigté, touchant ma prostate jusqu'à ce que je supplie.Claude, de son côté, était dans son bureau à domicile, un espace minimaliste avec vue sur la ville. À cinquante ans, il avait l'habitude de ces rencontres furtives, mais celle avec Lilian l'avait marqué. Il revoyait les fesses rebondies de l'homme plus jeune, la façon dont elles s'écartaient sous ses mains, son trou rose s'ouvrant pour lui. Il ajusta son pantalon, sentant son érection grandir. Il répondit rapidement, imaginant déjà une suite.
Claude : Haha ? T'étais une vraie salope, à genoux en train de me sucer comme si ta vie en dépendait. Ta langue sur mon gland, putain, c'était électrique. Et quand je t'ai baisé, tes gémissements... J'ai joui si fort sur ton torse, marquant ma territoire. T'as aimé ça, hein ? Être couvert de mon sperme chaud ?Lilian gémit doucement en lisant, sa main descendant vers son sexe. Il se caressa lentement, revivant la sensation de Claude en lui, les coups de reins puissants qui le faisaient trembler. Il envoya une photo discrète : un selfie de son torse, encore légèrement collant des résidus de la veille, bien qu'il se soit douché.
Lilian : Regarde ce que t'as laissé. Ouais, j'ai adoré. Ton sperme sur ma peau, chaud et épais, ça m'a fait jouir encore plus fort. J'ai branlé ma bite en rythme avec tes coups, et quand j'ai explosé, c'était comme un feu d'artifice. T'imagines pas à quel point j'ai envie de recommencer. Peut-être te laisser me prendre sans capote la prochaine fois ? Sentir ton jus couler en moi...Claude ouvrit la photo, son souffle s'accélérant. Il zooma sur le torse musclé de Lilian, imaginant lécher chaque goutte. Il se leva, verrouilla la porte de son bureau, et baissa son pantalon. Sa bite épaisse, veineuse, jaillit, prête pour l'action. Il se masturba lentement en répondant, décrivant ses fantasmes avec une crudité qui excitait encore plus.
Claude : Bordel, cette photo... T'es un tentateur. Sans capote ? Risqué, mais putain, l'idée de te remplir, de te faire déborder de mon sperme... Imagine : je te plaque contre un mur, tes jambes autour de moi, et je te pilonne jusqu'à ce que tu cries mon nom. Tes couilles claquant contre les miennes, ton trou se contractant autour de ma queue nue. Hier, quand je t'ai doigté, t'étais si mouillé, prêt pour moi. J'aurais pu te bouffer le cul pendant des heures.Lilian accéléra ses caresses, son précum coulant sur ses doigts. Il repensait à la maison abandonnée, aux bougies vacillantes illuminant leurs corps en sueur. Claude l'avait dominé si parfaitement, ses mains larges le tenant fermement, ses lèvres mordillant son cou pendant qu'il le baisait. Il tapa d'une main, l'autre occupée.
Lilian : Oh oui, bouffe-moi le cul la prochaine fois. Ta langue dedans, me préparant pour ta grosse bite. Hier, quand tu m'as enfoncé tes doigts, touchant ce point sensible, j'ai vu des étoiles. Et quand tu t'es enfoncé en moi, lentement au début, puis comme un marteau-piqueur... J'ai senti chaque veine, chaque pulsation. J'ai joui sans me toucher presque, juste de te sentir me posséder.Claude grogna, son rythme s'accélérant. Il envoya une voix note, sa voix rauque et essoufflée : "Écoute ça, salope. J'imagine te prendre par derrière, tes fesses rebondies contre mon ventre, mes mains sur tes hanches, te tirant en arrière pour m'enfoncer plus profond. Ton sperme sur les draps, le mien en toi. On va faire ça bientôt."Lilian écouta la voix note, le son grave de Claude l'envoyant au bord du gouffre. Il répondit avec une voix note à son tour, gémissant doucement : "Claude... Je me branle en t'écoutant. Imagine ma bouche sur tes couilles, les suçant pendant que tu te caresses. Hier, ta bite dans ma gorge, me faisant baver... C'était parfait."Les messages s'enchaînèrent, de plus en plus crus, de plus en plus imaginatifs. Claude décrivit un scénario où il attachait Lilian au matelas, le taquinant avec des jouets avant de le prendre brutalement. Lilian répondit en fantasmant sur une douche ensemble, l'eau coulant sur leurs corps tandis que Claude le plaquait contre le carrelage, le baisant sous le jet chaud.
Claude : La prochaine fois, on va dans un hôtel. Je te veux sur le lit, à quatre pattes, me suppliant de te remplir. Je te doigterai jusqu'à ce que tu sois en larmes de plaisir, puis je te baiserai lentement, te faisant sentir chaque centimètre. Ton beau cul rebondi, rouge de mes claques.
Lilian : Oui, claque-moi. Marque-moi. Hier, tes mains sur moi, pétrissant mes fesses... J'ai adoré. Et quand tu as changé de position, me mettant sur le dos, tes yeux dans les miens pendant que tu me pilonnais... C'était intense, intime et bestial à la fois.
Claude : Intime ? Ouais, mais bestial surtout. Ton corps tremblant sous moi, tes gémissements résonnant dans la pièce. J'ai senti ton trou se serrer autour de moi quand tu as joui, milkant ma bite. Putain, je vais jouir rien qu'en y pensant.
Lilian : Moi aussi... Viens, jouis avec moi. Imagine-nous ensemble maintenant.Ils continuèrent ainsi pendant une heure, échangeant photos suggestives – un gros plan de la bite de Claude, dure et luisante ; Lilian envoyant une vue de son cul, écarté pour montrer son trou encore sensible. Leurs messages devinrent frénétiques, ponctués de fautes de frappe dues à l'urgence du plaisir.Enfin, Claude envoya : "J'explose... Pour toi."Lilian répondit : "Moi aussi... Ton nom sur mes lèvres."Ils restèrent silencieux un moment, essoufflés de part et d'autre de l'écran. Puis, Claude brisa le silence.
Claude : Ce soir ? Même endroit ?Lilian : Non, chez moi. Je veux te sentir dans un lit confortable, pour une nuit entière.
Claude : Ok. Prépare-toi, salope. Je vais te détruire de plaisir.Lilian posa son téléphone, un sourire sur les lèvres, son corps encore vibrant des échos de leur échange. Dehors, la vie continuait, mais pour eux, un nouveau chapitre s'ouvrait, tissé de désirs inassouvis et de promesses charnelles.

Dernière réponse le 17 septembre
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Photo de Lilian69
279 km • Passif
a publié ce sujet
bonageurrase
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Tres beau recit je me vois bien a la place de lilian!