Dépucelé par un ami de mes parents

À l'époque j'avais 20 ans, je n'avais couché qu'avec des femmes et n'assumais pas vraiment mes envies gay, même si je passais des heures à fantasmer sur le fait de goûter à une queue bien juteuse...

L'histoire commence lors d'une soirée à la campagne dans une grande maison, Adrien, un ami de mes parents, sur qui j'ai fantasmé plus d'une fois, fête ses 50 ans, il a donc convié de nombreux proches, tous logés dans des bungalows dans un camping pas loin du lieu de la fête.

Je suis assez proche d'Adrien, il vient souvent à la maison, il est franc, notre différence d'âge m'impose un certain respect, voir une admiration mais il a toujours été très doux avec moi.
Même si il venait voir mes parents, il prenait toujours la peine de me demander des nouvelles. Je me sentais important à ses yeux.
J'ai passé des soirées entières à me toucher en pensant à lui, la première fois que je me suis doigté, c'était ses doigts que j'imaginais...

Revenons à la soirée, ce soir là, étant l'un des rares de mon âge, je suis assez seul et profite copieusement du champagne mis à disposition, la soirée avance et l'alcool aidant je repense à mes nombreuses sessions solitaires dédiées à l'homme de la soirée.
Je le mate, peut-être avec un peu trop d'insistance, j'ai envie de l'approcher, je m'imagine le suivre aux toilettes et lui avouer que je veux sa bite, je réfléchis à 1000 plans mais globalement je fantasme, rien de tout ça n'est concret, jamais je n'aurais le courage et je passe une partie de la soirée avec une demie-molle, mouillant dans mon boxer.

Vers minuit il vient me voir j'essaie de ne pas laisser quoi que ce soit transparaître, on discute, il est comme à son habitude, chaleureux, quoi qu'un peu plus tactile que d'habitude, je mets ça sur le compte de la fête, globalement je dis des banalités, je suis très loin des fantasmes que je me suis fait où je lui glisse à l'oreille "viens dans le jardin me baiser la bouche et t'y vider" ou autres idées du genre.
Mon coeur bat vite, mes parents nous interrompent, ils rentrent, mon bungalow est collé au leur, ils me proposent de les suivre. Je leur dis non en fixant Adrien, répondant avec le peu d'assurance que j'avais "j'ai encore envie de m'amuser un peu"...
Ils partent, Adrien est sollicité, la soirée avance, il doit être presque 3h, il ne reste plus grand monde. Je n'en peux plus, je pars sur le terrain de la propriété, un peu excentré à l'abri des regards pour fumer un joint et globalement je profite d'être assis pour me branler, dans tous les cas rien n'arrivera, me branler à 100m de lui est le summum de mon expérience avec un mec à cet instant et ça me va.
Je suis allongé dans l'herbe, boxer sous les couilles, je lèche ma mouille je suis trempé et je me branle en fumant.
C'est à ce moment qu'Adrien qui m'avait vu partir passe le haie, l'odeur de mon joint me rendait facile à repérer... Il a été assez discret pour que je ne le remarque pas de suite, je ne sais pas depuis combien de secondes il était là à me mater mais quand je le vois je panique, je range ma bite et balbutie un "c'est pas ce que tu crois..."
Il avait beau faire nuit je pense qu'il était impossible de rater mon visage rouge écarlate, je suis tétanisé, un cerf face aux phares d'une voiture.
Lui, confiant, s'assied à côté de moi, très proche de moi, il me prend mon joint des mains et tire dessus, mon coeur bat si fort, il finit par rompre le silence qui m'a semblé durer une éternité par un simple "j'espère que c'est à moi que tu pensais"

Je reste figé et balbutie un timide "oui".
Il me rend mon joint et passe sa main sous mon boxer, il sort ma queue et se penche dessus en me souriant, "détends toi".
C'est irréel, je n'y crois pas jusqu'à sentir la chaleur de sa bouche sur mon gland, sa langue me caresser la base, je manque d'exploser mais l'ébriété aidant je tiens quelques longues minutes, je gémis et me contracte de plaisir jusqu'à ce qu'il baisse mon pantalon et commence à me caresser le trou, une demi phalange aura suffi, j'ai explosé dans sa bouche, l'un des meilleurs orgasmes de ma vie, mes mains agrippant ses cheveux.
Il n'en gâcha pas une goutte.
Je m'attendais au post nut clarity, comme souvent après m'être vidé en pensant à un homme, que j'allais culpabiliser, rien de tout ça.
J'étais à lui.
Il m'a roulé une pelle qui avait mon goût, nos langues se caressant, c'était mieux que tout ce que j'avais imaginé.
Mais maintenant je voulais le goûter, il le savait, j'ai entendu sa braguette s'ouvrir, il a pris ma main et l'a posé sur sa queue, une queue déjà ferme, large, lourde, un gland plus épais que sa tige déja bien epaisse.
"Régale toi"
Il a appuyé sur ma tête doucement pour la guider et n'a cessé d'appuyer, il m'a donné son rythme. J'ai rebandé instantanément, sa bite était chaude, délicieuse, légèrement baveuse...
"Je t'ai vu me mater toute la soirée, c'était ça que tu voulais hein ? Tu rêvais de finir avec ma bite dans ta bouche ?"
Je gémissais pour lui répondre, chaque question je m'abandonnais plus à sa queue, gémissant, salivant, je voulais son jus..
Et là "tu suces divinement bien petite salope" ces mots m'ont rendu fou, folle pour être plus exacte, j'étais sa salope, j'ai poussé pour le prendre en gorge profonde, son gros gland m'étouffant, il a poussé pour m'aider, il m'a prévenu que si je continuais j'allais devoir avaler.
J'étais là pour ça, je voulais le goûter, j'ai continué, voir même accéléré et là il a maintenu ma tête, s'est agrippé à mes cheveux et m'a envoyé d'énormes jets de sperme épais dans le gorge, m'a tiré légèrement les cheveux pour que son gland puisse envoyer ses derniers jets sur ma langue, que je puisse y goûter pleinement dans un râle de plaisir qui m'a empli d'excitation et de fierté.
Le goût était fort mais j'ai adoré, je n'en ai pas raté une goutte.
Il m'a embrassé avec force et tendresse.
Puis m'a glissé "Tu veux me faire plaisir ? Être ma salope obéissante ?"
J'ai bien évidemment répondu "Oui Monsieur"
"Alors va m'attendre dans la chambre, mets toi nu, à quatre pattes sur le lit et je t'interdis de te toucher. Je te rejoindrai une fois tout le monde parti."

J'ai obéis, je suis allée dans sa chambre sans croiser qui que ce soit et j'ai obéis, je me suis mise nue, à quatre pattes sur le lit, l'attente m'a semblé durer des heures et puis un moment la porte s'ouvre.
Il gémit de plaisir à la vue de mon cul cambré, mon trou serré n'appartenant qu'à lui, je sens ses mains agripper mes fesses, je gémis, je l'appelle Monsieur discrètement, il aime ça..

"On est seuls tu peux te lâcher"

Sa langue qui pénètre ma raie, qui descend sur mon trou, j'ai commencé à gémir son nom sans cesse, gémir "Monsieur" de plus en plus fort, attrapais sa tête dans l'espoir d'enfoncer encore plus sa langue divine en moi, de ma vie je n'avais jamais été aussi bruyante, ses doigts ancrés dans mes fesses, les écartant avec force, et puis un doigt, j'ai été légèrement inconfortable, ai retenu sa main, il est resté patient, c'était ma première fois, je lui ai dit, il m'a promis d'y aller doucement...
Une fois acclimatée, un deuxième doigt... Mes yeux étaient dans leurs orbites... Pendant presque une heure il n'a fait que s'occuper de moi, sa bouche léchant mon trou, ses doigts se baladant en moi...
Je voulais sa queue, il m'attendait, le préparait, j'ai glissé un "je veux que tu me baises, que tu me fasses hurler", il m'a demandé si je voulais qu'il mette une capote, j'ai dit non que je lui faisais confiance, il m'a retourné sur le dos, il voulait voir mes yeux alors que j'allais me faire baiser pour la première fois.
Mais avant il fallait que je le suce, qu'il soit parfaitement dur, je ne me suis pas privée, je vivais tous mes fantasmes, j'ai craché sur sa queue, me suis biflé avec en soutenant son regard, j'étais sa salope, je devais être à la hauteur.
Une fois bien dur, il a redressé mes jambes, pris du lubrifiant pour me lubrifier encore plus et s'est penché sur moi, j'ai senti son gros gland pousser doucement contre mon trou déjà bien ouvert.
Moi qui avais gémis comme une chienne juste avant je ne sortais plus un souffle, presque en apnée, tremblante d'appréhension et de désir.
Lui, doux patient, ne quittant pas mon regard, à ce moment là j'étais son chéri, plus sa salope, il était rassurant dans ses mots et puis à force de temps, voilà que ses couilles étaient collées à mon cul, son sexe entièrement en moi, il est resté comme ça de longues minutes, à faire de très légers allers-retours, le temps que je sorte de mon apnée, que je respire à nouveau, gémisse à nouveau, que je me mette à accompagner ses mouvements des miens.
Il m'a roulé une pelle tendrement tout en accélérant davantage, ayant des mouvements plus secs, mes mains caressant son corps, y plantant parfois les ongles quand le plaisir était trop intense...
J'étais transpercé de plaisir, plus aucune gêne, il l'a senti, il a tiré mes hanches vers lui, a redressé mes jambes sur ses épaules et j'ai retrouvé dans ses yeux ce regard brutal, animal.

"Maintenant que tu es prête, je vais te faire hurler ma petite salope"

Il a commencé à me ramoner et il n'avait pas menti, j'ai perdu le contrôle, j'ai gémis, j'ai crié, j'ai hurlé..
Sa queue tapait pile sur ma prostate. J'ai manqué de jouir plus d'une fois mais je ne voulais pas que ce moment s'arrête, quand c'était trop je l'ai tiré à moi, l'ai poussé sur son dos et l'ai chevauché, je bougeais sa queue en moi, l'aspirant au plus profond de moi, un moment plus calme où il me caressait les seins en me parlant crûment, branlant ma bite dégoulinante de sperme et de mouille.

Je voulais son jus, je voulais sentir toute sa puissance, je voulais être sa chienne, je me suis retirée de sa queue pour me mettre à quatre pattes, il aimait mes initiatives, me traitait de chienne, qu'il allait bien me dresser, qu'on allait s'amuser ensemble et puis il s'est mis derrière moi, m'a mis de grandes fessés, a craché sur ma raie, sur le bas de mon dos, frottant sa salive a l'intérieur de mon trou et puis sans attendre il m'a pénétré d'un coup, brutalement, sauvagement, j'avais demandé, j'allais devoir assumer, je lui appartenais.

Il m'a défoncé sans retenue, claquant mes fesses toujours plus fort, je ne cessais de crier et de gémir de plaisir.
Il m'a enfoncé la tête dans l'oreiller, écroulée, le cul cambré, je me touchais la queue, voulant exploser en même temps que lui, je n'ai pas tenu, mon ejac était si intense, mon cul se contractant sur sa grosse bite, mon corps se relâchant.
Il a adoré, m'a ordonné de ne pas gâcher, de frotter ma queue et de sucer mes doigts et après quelques coups de plus en plus intense il s'est logé au plus profond de moi et m'a inondé le trou, sa chaleur me remplissant, il m'est tombé dessus.
On est restés comme ça, essoufflé, en sueur, je ne sais combien de temps, j'étais dans ses bras, sa queue ramolissant en moi.

L'après il était à nouveau doux bien qu'entre mêlant douceur et mots crus.

J'ai fini par devoir partir, marchant une bonne vingtaine de minutes jusqu'à mon bungalow, le cul rempli.
Une fois seule dans mon lit, je me suis doigtée et touchée en repensant à ce que je venais de vivre.

Le croiser le lendemain au brunch et devoir faire comme si de rien était était délicieux...

Et par la suite on s'est vus en secrets de manière épisodique sur plusieurs années, parfois avec plusieurs mois d'écart, il était mon eden secret...

Dernière réponse le 23 avril
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Photo de ChubCoquin
31 • ChubCoquin
5.8 km • Passif
a publié ce sujet le 22 avril
Lechetrou
59 • Lechetrou
Très beau récit on en redemande
Le 22 avr
Laur54
61 • Laur54
Très belle histoire sexuelle…
Le 22 avr
cris48
53 • cris48
Tu m'as fait bander et mouiller
Le 22 avr
56 • Kanna,
Moi aussi Christophe • Le 22 avr
lopabites
64 • lopabites
La salope! Ça fait du bien de te lire.
On en veut encore
Le 22 avr
Jeff12
46 • Jeff12
Superbe récit. Tu m as fait bander à mort
Le 22 avr
56 • Kanna,
Moi aussi jeff • Le 22 avr
Rebeubi91480
53 • Rebeubi91480
Belle histoire. Très bien raconté.
Le 22 avr
xralph93
45 • xralph93
Ça donne envie pour une 1ère fois
Le 22 avr
ChubCoquin
31 • ChubCoquin
Mmmm très heureux que ça vous plaise, j'adore vous imaginer vous branler sur mon histoire 🥵
Le 23 avr
thom75
59 • thom75
Très belle histoire. Bravo 👍
Le 23 avr