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DEUX PASSIFS ET UNE QUEUE (MOI !).

Alors que je n'ai jamais aimé être avec deux femmes en même temps -je dis ça sans l'avoir essayé mais je n'en avais ni l'envie ni le fantasme-, j'ai en revanche, plus tard, aimé être le mec de deux passifs, ce qui m'arriva un soir d'été, tard, rencontre internet de deux potes cherchant, selon leur terminologie, « une queue ». J'étais assez honoré d'être réduit à n'être qu'une « queue », un instrument pour leur plaisir.

Au départ, ils avaient proposé de me recevoir directement à poil, ce que j'avais refusé, souhaitant pouvoir prendre le temps et les déshabiller. Ils aimaient bien l'idée. Lorsqu'ils ouvrirent la porte, l'un était en débardeur, l'autre torse nu mais avec un pantalon en lin qui soulignait la rondeur de ses fesses. J'étais déjà excité. On resta dans le salon, et je retirais le débardeur du premier puis allais légèrement pincer les tétons du second qui semblait aimer ça ; avec une de mes mains, je caressais ses fesses par-dessus le pantalon en lin et je sentais que lorsque j'excitais ses tétons ses fesses se durcissaient, je relâchais la pression sur les tétons pour que son cul se cambre et passais un moment la main dans le pantalon, sentant déjà une humidité comme femelle de la raie de ses fesses. Je m'occupais un peu de l'autre, baissant son pantalon à moitié et me chauffant de cette vue ; je bandais fort. Nos regards se croisèrent, des baisers à pleines bouches puis l'un dit, en me regardant droit : on est d'accord, tu n'es qu'une queue. Cette fonction me plaisait, j'acquiesçais et l'un mit sa main sur ma braguette, caressant ma queue raide sous le pantalon. Les tissus légers de l'été rendaient ces contacts fort sensuels. Je déculottais complètement le premier (Bastien) et retournais vers les tétons du deuxième (Georges).

Enfin on se retrouva tous les trois nus et ils sucèrent à deux ma queue, la jaugeant, en parlant entre eux, se la donnant mutuellement pour des fellations qu'ils savaient faire profondes. Ils me demandèrent si je prenais parfois des chattes et je leur dis que oui, sans souligner qu'à présent c'était très rarement. Cette idée de ma bite dans des chattes sembla décupler leur excitation et ils s'activaient sur ma queue avec voracité. C'est à ce moment là que je les fis s'accroupir et me montrer chacun leur cul, c'était à mon tour de parler tout haut et de dire ce que m'inspirait leurs fesses, leur trou, et je commençais à les caresser à cet endroit. Ils n'avaient plus de queue dans la bouche et pas encore dans leur cul, et ils gémissaient à partir de mes doigts, de mes caresses. Ils étaient bouillants.

Je me sentais prêt, ou plutôt je sentais prête ma queue à travailler pour eux.

J'adorais aussitôt le cul bien humide de Georges, drôle de prénom qui me faisait croire que j'enculais un bourgeois mais il n'en était rien, Georges était fils de fonctionnaires. A côté de lui, son pote (ils s'étaient rencontrés à la fac) avec un cul bien plus resserré que j'adorais lécher et ouvrir, comme un point sans résistance, sans tension, sans pudeur, sans honte. Ceci aussi me fascinait. Ouvrir, couvrir.
Lorsque j'enculais l'un, je sentais que l'autre était en attente et cela me faisait terriblement bander, ce manque que dans le plan ils avaient de ma queue, cette queue passant d'un cul à l'autre ; et je sentais bien que je n'étais qu'un instrument pour qu'ils se rejoignent tous les deux, comme rajouter à leur complicité, peut-être à leur amour.

Notre jeu dura tout l'après-midi et une fois que nous avions éjaculé, moi dans la capote dans le trou de Georges, Georges sur la joue de son pote, Bastien sur la moquette, nous avons repris nos esprits, réentendus les bruits de l'été autour (oiseaux, baignades lointaines, vent) puis ils me proposèrent un apéro. Moment de complicité où je leur rappelai que je n'étais qu' « une queue » et on se mit à rire.

Hier, peut-être excité par ce souvenir d'actif, j'ai sodomisé un homme jeune et avide dans un lieu de rencontre, il avait les cuisses relevées, il était sur le dos et son trou avait été préparé, c'était d'une douceur incroyable, sensation de litchi – et beau à voir l'intérieur de ses cuisses montrées, offertes, comme un chemin vers le trou accueillant. J'ai toujours aimé toucher (baiser ne veut-il pas dire finalement toucher ?) mais aussi voir, voir, scruter. Les images de nudité, les culs offerts, les démarches. Je n'ai jamais aimé les backrooms car elles me privaient de voir.

Il m'arrive parfois de suivre un homme dans la rue juste parce que le cul est bien rond et bien fait dans le pantalon, juste parce que sa démarche redouble la beauté de ce cul ; j'ai souvent pensé que je me ferai renverser par une voiture juste pour avoir regardé intensément et avec concentration un garçon de dos.

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Dernière réponse le 16 septembre
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Photo de Lorrent
3.4 km • Versatile
a publié ce sujet
Ric7591
60 •
Belle histoire, j'aimerais être ton passif
Sexdiscret
46 •
L inverse m aurait plu lol
DAD-FUN
55 •
Très beau récit je partage ton plaisir à regarder un joli cul de mec style sportif.
suce22
53 •
Les trois cuisses sont bons
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