En rentrant de vacances
Nous sommes samedi dernier, le 23 août.
Je suis sur la route de retour de mes vacances après 3 super semaines en Espagne. J'ai l'impression de rentrer plus fatigué qu'en arrivant. Le fait de partir à 3h du matin y est certainement pour quelque chose… il y a pas mal de monde sur la route, ce qui m'impose à rester vigilant. Ma femme dort, somnole très régulièrement à côté de moi. Souhaitant jouer son rôle de copilote, elle a le terme lecture et téléphone, mais ça l'emmène à chaque fois. Je remonte par l'autoroute l'Occitane. Au alentour de 13h je décide de m'arrêter sur l'aire de repos à hauteur de Brive. Je commence par faire le plein d'essence. Ensuite je me dirige vers le parking.. Trop envie d'une cigarette. Ma femme dort Toujours. Je sors de la voiture et je me dirige dans un coin où je pense ne gêner personne avec ma fumée. Il y a beaucoup de monde, week-end de grand retour. Je regarde machinalement les gens autour de moi. C'est à ce moment que je vois cet homme qui me regarde. Habituellement les gens détourne leur regard, mais pas lui. C'est donc moi qui regarde ailleurs. Je ne sais pas pourquoi, mais je sens toujours qu'il me regarde. D'un rapide coup d'oeil, je constate que c'est effectivement le cas. Je termine ma cigarette, écrase celle-ci. Mais je n'ai pas ma dose de nicotine. Je décide d'en allumer une deuxième. Me sentir observé, me trouble, me questionne et je me dis que c'est simplement mon imagination. Un nouveau regard dans sa direction, confirme que ce n'est pas mon imagination. Le mec me mate carrément. Et cette fois-ci, j'en fais tout autant. Plutôt beau mec, la cinquantaine, petit polo rose, bermuda blanc, pas très grand et assez fin. Et il me dévore littéralement des yeux. Ce n'est pas facile de définir la gourmandise, mais là je sens vraiment que je suis à son goût. Je suis moi-même en bermuda, marron clair, qui je l'avoue, est assez moulant. Enfin qui on peut dire marque assez bien mon paquet. Et j'ai un polo noir très simple en haut. Rentrant de vacances, j'avoue, j'ai une belle peau toute bronzée. Tout en continuant de fumer, je suis tout en contradiction. J'essaie de me dire qu'il n'y a rien mais quand même, il me matte vraiment. Soudainement, il commence à faire des va-et-vient en passant devant moi. Et à chaque fois il me regarde de plus en plus fixement. Il me sourit à présent. De nature plutôt joviale., je souris également. Il s'approche de moi et me dit : grosse envie !! Je reste totalement bloqué de sa phrase… Et je pense que je deviens tout rouge… Il a sciemment prononcé ses mots d'une façon coquine. Il ne manquait que le hummmm … J'ai fini par dire: pardon !?? Il me dit : grosse envie de tabac !? Mon air bêta et ma réponse : ah euh oui.. le fit sourire encore plus.. Il me dit : vous aviez compris autre chose !? Me demanda t'il.. Toujours avec ses yeux qui me dévore.. Je lui répond que non j'avais bien compris qu'il s'agissait de mes 2 cigarettes d'affilé.. Partant en direction de la porte d'entrée de la boutique, il passa près de moi, et je sentis sa main frôler, même un peu plus mon sexe et l'entendit clairement prononcer : Hummm dommage… Je vous avoue que je suis resté totalement scotché ! Reprenant mes esprits, j'ai immédiatement regardé dans la direction de ma voiture.. Pas de mouvement. Je m'en approche et je vois ma femme toujours, le siège en arrière, entrain de dormir. Je me dis purée, le mec n'a pas froid aux yeux… une fois que je considère la situation close, je repense à nouveau à la route qui me reste à faire et je me dis que c'est n'importe quoi ma femme étant juste là. Je sens bien que la situation malgré moi m'a excité, m'excite même. Je sens que mon sexe grossis mécaniquement. Je suis obligé de le repositionner discrètement afin d' éviter que tout le monde voit mon début d'érection. Même si par ce bermuda un peu serré, c'est difficile à cacher. Un nouveau regard sur la voiture et je me rends en direction de l'intérieur de la station. Il y a pas mal de monde. Je cherche les toilettes car après six heures de route et un thermos de café j'ai quand même très envie de faire pipi. Je regarde à droite à gauche pour chercher celle-ci, et j'en prends la direction. J'avoue que je jette quand même un coup d'oeil si je revois mon polo rose. Pas de polo rose visible. J'arrive vers les toilettes, il y a une file d'attente assez importante chez les femmes. Je pénètre chez les hommes et constate qu'il y a beaucoup moins de monde. Il reste une pissotière au fond de libre et je m'avance vers celle-ci. Je constate que celle-ci est totalement bouchée. Au même moment, la dernière porte des toilettes s'ouvre et un homme en sort. J'en profite pour prendre sa place. J'avoue que je suis toujours très excité en rentrant à l'intérieur. C'est cette excitation qui fait que je ne ferme pas la porte à clef, et la laisse entrouverte de quelques centimètres. Je me tourne vers les toilettes, je défais mon bouton, ouvre ma braguette et sort ma bite qui a à présent un beau volume… Je bande pas mal, mais sans me gêner suffisamment pour pouvoir viser les toilettes. Je viens à peine de commencer, que la porte s'ouvre. Je n'ai pas le temps de tourner la tête que j'entends: ah pardon, excusez-moi. Et la porte se referme telle qu'elle était. Continuant d'uriner, je me suis dit dommage. J'allais finir, que la porte s'ouvrit à nouveau. Étant, sur le point de finir, je restais à regarder devant moi pour ne pas en mettre partout. J'entendis la porte se fermer à nouveau. Mais à la différence de la première fois, personne s'excusa et à la place, c'est le verrou que j'entendis.. je me retourne et vis l'homme au polo rose… Il vint se coller contre moi et en m'entourant de ses bras, j'ai senti ses mains se poser sur ma main qui tenait mon sexe. Il me susurra : besoin d'aide ? Je lui laissa la place en retirant ma main. L'instant de quelques secondes, je fini et il secoua ma bite comme si c'était lui qui venait de pisser. Il était temps que je finisse car de sentir ses mains sur mon sexe, provoqua immédiatement le gonflement de celui-ci. Il me fit me retourner, et sans dire un mot il descendit mon caleçon et bermuda sur mes chevilles… Je bandais terriblement à présent. Ma bite toute blanche était dressé dans sa direction. Il la regardait et me dit doucement : je savais que tu avais une bite magnifique. Dès que je t'ai vu, j'ai eu envie de toi.. et surtout d'elle… Tout en descendant pour avoir son visage face à elle. A peine fini sa phrase, qu'il approcha sa bouche, il commença par de délicieux baisers sur toute sa longueur. Il l'embrassa délicatement. Il continua jusqu'à mon gland qui était déjà bien gonflé. J'étais aux anges et très excité à la fois. J'entendais les mouvements et les discussions derrière la porte. Je réalisa que j'allais me faire sucer alors que ma femme était là dans la voiture. Ça m'existait encore plus. Il ouvrit sa bouche et avala presque entièrement ma bite toute tendue et dur à la fois. Il commença ses va-et-vient. Sa bouche était toute humide. Un délice. Il savait y faire le coquin. Il avait une de ses mains qui me caressait les couilles et l'autre me caressait les fesses. Il s'arrêta quelques secondes, pour me dire que ma queue était trop bonne, qu'il adorait l'avoir en bouche, et qu'il espérait que je lui donne mon jus. Il a repris de nouveau ses va et vient… je me laissais faire pleinement. La situation était dingue. Je n'en revenais pas. C'est à ce moment là que je senti mon téléphone vibrer contre ma cheville à l'intérieur de ma poche. Sans déranger, l'inconnu qui me prodiguait une magnifique fellation, je récupéra mon téléphone et vis un SMS de ma femme. Tu es où mon chéri ? J'avoue que cela me déconnecte un instant du moment. Je renvoya rapidement. Je suis aux toilettes, un peu mal au ventre. Elle répondit instantanément : ah OK, il y a la queue chez les filles, je nous prends deux sandwiches après. Je lui ai répondu oui, je veux bien. Si elle savait où j'avais ma queue, moi. Passer cette interlude SMS, mon inconnu continuait toujours à me sucer avec autant d'envie. Je pouvais sentir qu'il se délecter. Ses deux mains saisir mes fesses et les attira vers lui afin de prendre ma bite entièrement en fond de gorge. C'était un vrai kiffe. Quel pied… Je sentais que j'allais jouir bientôt.. Par la situation je ne chercha pas à faire durer le plaisir et laissa venir mon sperme. J'attrapa la tête de mon inconnu et décida d'imposer mon rythme de ses va et vient. Je baisais littéralement sa bouche et je sentais qu'il prenait également son pied… Mon gland était au fond de sa gorge, gonflé près à exploser. Quelques mouvements supplémentaires et je lâcha une quantité impressionnante de sperme dans sa gorge et bouche. Je dus prendre sur moi pour ne pas crier de plaisir et étouffer ma jouissance. Il régurgita, me fit sortir et en me regardant avala la totalité de ma semence. Il reprit ma bite en bouche, recommença à me sucer plus délicatement cette fois ci. Il téta mon gland pour aspirer les quelques gouttes qu'il pouvait rester. Il se redressa, pris quelques feuilles de papier toilette, s'essuya le contour de la bouche. Il me dit que c'était un délice, que tout comme ma bite, mon sperme avait un goût exquis. Que c'était exactement les vitamines dont il avait besoin pour finir sa route. Je le remercia à mon tour de cette superbe pipe improvisé et que c'était également ce qu'il me fallait pour finir ma route également. Ce qui le fit rire. Il me fit un dernier coup de langue, un dernier baiser sur ma bite., me dit qu'elle devait être également génial à l'avoir en sois. Mais qu'il était certainement temps pour moi de rejoindre madame… J'ai juste eu le temps de lui donner mon profil sur le site, qu'il ouvrait la porte et partie en refermant derrière lui.. Quelqu'un s'apprêtait à rentrer quand je l'entendis expliquer que les toilettes étaient bouchées, qu'il allait prévenir quelqu'un du personnel. Je ferma le verrou, attendis un instant que quelques portes s'ouvrent et se ferment et je sortis à mon tour sans regarder derrière moi. Je retrouva ma femme qui faisait la queue pour payer nos sandwiches comme si de rien n'était. Elle me demanda si ça allait mieux. Oui beaucoup mieux je lui répondu… En sortant je cherchais un peu à droite et à gauche discrètement et on se dirigeait vers notre voiture lorsque je vis mon inconnu passer avec la sienne et me faire un clin d'oeil. J'ai fait le reste du trajet à la fois détendu et très excité en n'arrêtant pas de repenser à ce moment. Il ne m'a pas encore recontacté
