"Gynéco Apocalypse : Camille, Bruno et l’Interne Détraqué"
« J'ai pondu cette histoire rien que pour clouer le bec aux grincheux mal baisés qui croient que mes récits sont bidon ou sortis de nulle part pour certains. Eh bien, celle-ci, mes chers, est un pur produit " IMAGINAIRE ", alors lâchez-vous, c'est fait pour vous, commentez ! Bonne lecture, et éclatez-vous à critiquer ! »
Camille Viau, 28 ans, lesbienne hardcore qui ne jure que par les chattes juteuses, traîne ses basques vers son rendez-vous gynéco annuel, noté en lettres de feu dans son agenda de meuf badass. Son toubib habituel, le Dr Gagnon, un fossile qui sent la naphtaline, s'est tiré en croisière, remplacé par la Dr Sophie Lemaire, une MILF en blouse blanche qui fait bander les thermomètres. À 9h, Camille avale un Red Bull avec un beignet rance, se rase la foufoune jusqu'à ce qu'elle brille comme un miroir de bordel, et se badigeonne d'une lotion à la cerise qui schlingue le sirop pour toux. Elle claque une culotte en latex qui grince, une robe zébrée qui hurle "baise-moi", du rouge à lèvres violet fluo, et déboule à la clinique dans sa Fiat 500 customisée avec des flammes.
À 9h45, elle s'ennuie ferme dans la salle d'attente, zappant un magazine sur les cures de jus détox. Sophie l'appelle, et Camille manque de jouir sur place : la doctoresse, la trentaine, est une dominatrice en puissance, chignon blond serré, lunettes de prof sévère, blouse tendue sur des seins comme des melons et un cul à faire péter les braguettes. Camille bafouille, la chatte déjà en mode Niagara, pendant que Sophie pose des questions médicales avec un sourire de prédatrice.
Dans la salle d'examen, Sophie balance une blouse en plastique transparent, genre sac à ordures de luxe, et grogne : "Vire tes fringues, pétasse !" Camille, à poil, s'affale sur la table, jambes écartées comme une huître ouverte. Sophie dégaine un stéthoscope glacé, le plaque sur les nibards de Camille, qui pointent comme des obus. "Ton coeur cogne comme une basse de techno !" ricane Sophie, frottant l'instrument sur ses tétons jusqu'à ce qu'ils saignent presque. Camille, en transe, sent son vagin dégouliner comme une canalisation pétée.
L'examen vaginal vire à l'orgie de l'espace. Sophie, sans gant, enfonce cinq doigts huilés dans la chatte de Camille, qui braille comme une chèvre en chaleur. "T'aimes te faire défoncer, hein ?" siffle Sophie, pompant comme une perceuse industrielle. Elle arrache la blouse, bouffe les seins de Camille, mordant ses tétons jusqu'à l'os. Puis, elle plonge sa langue dans son sexe, suçant son clito comme une sangsue affamée. Camille convulse, gicle un jet de trois mètres qui repeint le plafond, et hurle : "Putain, t'es une sorcière du cul !"
Mais là, bim, la porte explose, et déboule Bruno "Bite de Mammouth" Martel, le remplaçant du remplaçant, un colosse de 40 ans avec des pecs comme des pneus et une queue de 35 cm qui déchire son froc comme un chapiteau. "C'est quoi cette partouze ?" beugle-t-il, mais ses yeux de psychopathe brillent d'envie. Et juste derrière, surgit Kévin "l'Interne Déglingo" Dubois, un mec de 25 ans, taillé comme un bodybuilder sous stéroïdes, avec une barbe de Viking et un regard de taré. Il trimballe un chariot d'instruments médicaux et un rictus de serial baiseur. "On va tout niquer !" hurle-t-il, brandissant un spéculum comme une épée.
Camille, en mode délire cosmique, plaque sa vie de lesbienne et se jette sur Bruno, arrachant son pantalon pour libérer son gourdin monstrueux. "Empale-moi, espèce de taureau !" braille-t-elle. Bruno la soulève, la cloue sur la table, et l'enfile d'un coup, sa queue déformant son bide comme un alien. Camille hurle, kiffant la douleur absurde, tandis que Sophie, morte de rire, lui claque les fesses avec une spatule médicale. Kévin, complètement barge, grimpe sur Sophie, lui arrache sa blouse, et la baise avec un thermomètre géant, puis un pied à perfusion, en gueulant : "Je vais te désinfecter l'utérus, salope !" Sophie, en extase, hurle : "Plus crade, enfoiré !"
Le chaos s'installe. Kévin, en mode MacGyver du cul, chope un aspirateur à mucosités et l'utilise pour pomper le clito de Sophie, qui gicle comme un geyser islandais. Camille, empalée par Bruno, se fait fister le cul par Sophie avec du gel antiseptique fluo. Kévin, pas en reste, balance des seringues remplies de lubrifiant comestible à la fraise, arrosant tout le monde. Bruno, en transe, défonce Camille en levrette pendant que Kévin lui enfonce un otoscope dans l'anus, criant : "Je vois ton âme, connasse !" Camille, au bord de l'overdose orgasmique, explose dans un cri qui fait trembler les vitres, son jus inondant la pièce comme une marée noire.
Sophie, à quatre pattes, se fait prendre par Kévin, qui alterne entre sa queue, un stéthoscope, et une roulette de dentiste pour "stimuler les nerfs". Bruno, en mode godzilla, lâche un torrent de sperme sur Camille, la transformant en donut glacé. Kévin, hilare, grimpe sur le bureau, se branle avec un défibrillateur, et jouit en électrocutant l'air, hurlant : "C'est l'orgasme à 1000 volts !" La pièce pue le foutre, le gel, et la sueur, un mélange digne d'une décharge toxique.
Épuisés, ils s'écroulent dans une flaque de fluides, riant comme des hyènes camées. Camille, convertie au gay par la bite de Bruno, plaque son passé lesbien et s'associe avec lui et Kévin pour ouvrir une clinique underground, "Le Spéculum Enragé", où ils organisent des partouzes médicales avec des outils absurdes : seringues de chantilly, catheters vibrants, et même une perceuse à plaisir pneumatique. Sophie filme tout pour leur site porno, "Crade MD", où ils repoussent les limites du grotesque avec des blagues scato : "T'as bouffé quoi ? Ton cul sent la fosse septique !" Camille, reine du trash, kiffe sa nouvelle vie, enchaînant des plans où Kévin baise tout ce qui bouge avec des objets médicaux volés, du marteau à réflexes au bistouri émoussé.
En partant, Kévin balance à Camille : "Rendez-vous ce soir, j'amène un endoscope et une bouteille de ketchup !" Camille, couverte de sperme et de gel, répond : "Ajoute une pompe à lavement et un extincteur, on va faire péter la clinique !" Bruno, essuyant sa queue de dinosaure, beugle : "Et moi, j'apporte le chalumeau pour cramer les tabous !" Ils s'esclaffent, promettant une apocalypse de foutre et d'humour noir jusqu'à ce que la médecine elle-même rende l'âme.
