Le devenir d'une pute à jus
Bonjour à tous,
Samedi 13 septembre
Fin d'après-midi, je reçois un anonyme discret mais souriant. À peine la porte fermée, je suis déjà à genoux : sa queue chaude glisse profond jusqu'au fond de ma gorge. Il apprécie, me masse le dos, puis m'allonge sur le ventre. Aucune capote. Il s'enfonce d'un coup lent mais sûr, m'ouvre large, rythme régulier, gémissements étouffés. Il jouit à l'intérieur, bien tassé. Je serre les fesses et garde tout contre moi toute la nuit, chaleur délicieuse qui ne cesse de pulser.
Dimanche 14 septembre
Fin d'après-midi, un autre arrive tout droit de Paris. Pas le temps de discuter : j'avale sa verge encore semi-molle jusqu'à la rendre dure et veineuse. Il me retourne, lèche vite, crache juste assez pour guider son gland. Sans lubrifiant, il force lentement puis me prend à grands à-coups. Un seul objectif : remplir. Quelques minutes suffisent ; il plante jusqu'à la garde, grogne, et répand sa dose brûlante bien profond. Pas un mot de plus : il remonte son pantalon et s'en va, me laissant dégoulinant, comblé, prêt pour le prochain.
À très vite pour la suite — mon cul reste ouvert aux volontaires raw only.

