Le plan épervier 3
L'Adjudant Colbert…belle affaire! Mon enculeur de première depuis qu'il avait découvert dans mon journal intime que je fantasmais sur lui. Discrètement a l'écart je subissais ( j'acceptais volontiers) ses assauts répètes dans mon intimité.
Nous avions reçu par avion de la nourriture que nous devions dispatcher dans les unités tchadiennes. Colbert m'avait désigné pour l'accompagner sur une base située à une vingtaine de kilomètres. Nous étions en camion et je me demandais ou et quand il voudrait baisser nos pantalons. Arrivés, nous voilà à superviser le déchargement de notre véhicule, l'adjudant se mît a l'écart et discuta quelques l'instant avec 3 soldats qui grimpèrent à l'arrière et le camion s'égara dans un chemin et s'arrêta. Nous sommes descendu et l'adjudant m'ordonna de grimper rejoindre nos 3 soldats tchadiens. « Il est a vous comme promis ». Rapidement ils s'approchaient de moi et me touchaient, faisaient tomber mes vêtements et je me retrouvais nu face à 3 hommes qui visiblement n'avaient pas baisé depuis des lustres vu leur excitation. Jamais je n'avais été entièrement nu, ayant toujours peur d'être surpris mais là je m'offrais à eux. Les soldats enlevaient leurs pantalons et s'approchaient de moi, bites tendues à l'extrême, bizarrement le plus petit avait la plus grosse, les autres étaient normales. J'alternais donc entre ces 3 offrandes noires que je branlais et gobais sans relâche. « Baisez-le on n'a pas toute la journée » hurla Colbert qui se paluchait devant le spectacle. « A quatre-pattes sur le banc et tends ton cul, ça va ramoner » blaguait-il. A tour de rôle chaque soldat tchadien venait détruire mon anus tellement ils mettaient du coeur à leur mission pendant que je suçais Colbert….mon dos s'inondait progressivement de foutre tchadien alors que mon visage recevait du français…je terminais épuisé par cette sodomie collective, le camion repartait ramener les soldats soulagés. « A la prochaine les gars je vous ramènerais ma petite pute régulièrement »….Le voyage du retour se faisait en silence, l'épervier ne lâchait pas sa proie du regard et dans un dernier mot « tu rentres prendre une douche car rappelle toi ce soir on est de garde tous les deux…. ». La chasse était encore ouverte, le gibier était consentant à voir le fusil.
