Le plan épervier 4

Notre mission au Tchad durait depuis déjà 6 mois sans vraiment savoir quand elle pourrait se terminer…moi je n'étais pas forcément pressé de rentrer et mon adjudant Colbert se tordait le cerveau « putain, quand j'vais revenir j'sais pas si j'vais arriver à bander devant ma meuf…j'crois que j ‘préfère ton cul… ». Et un pédé de plus ! Quoiqu'il serait capable de retour en France de devenir homophobe…cet idiot, pas à une contradiction près !
Tout abruti qu'il était, il avait une queue merveilleuse que j'appréciais de prendre dans mon cul assez régulièrement au gré de ses envies et l'opération vidage de burnes de soldats tchadiens s'était répétée 5-6 fois…mais à force de multiplier, c'est la discrétion qui en prend un coup et nous voilà convoqués dans le bureau du capitaine. « Colbert, il m'est rapporté que vous offrez l'intimité du soldat Festuca auprès des forces tchadiennes » « Vous vous rendez compte de la réputation de l'armée Française qui baisserait sa culotte à tout bout de champs… » « Et vous Festuca vous êtes vous engagé pour donner cette image? ». Bien évidemment Colbert niait la situation et la retournait à son avantage prétextant m'avoir surpris en train de me faire sodomiser dans le camion mais d'avoir caché la situation pour éviter la honte au régiment. Un comble…
Sacré Colbert, pris la main dans le sac ou plutôt la bite dans le fion il préférait sortir des balivernes que seul lui croyait. L'adjudant fut écarté de la division sur le champ et envoyé sur une autre base alors que pour ma part j'étais mis à l'isolement pour 8 jours, une prison de fortune fabriquée dans un container….sanction que le capitaine concluait d'un « Ne vous attendez pas à être respecté dans ces lieux et je ne veux rien savoir ». Qu'entendait il par cet avertissement?
On m'accompagna dans ma geôle où il y avait 3 lits superposés pour seulement 20m2, et la rumeur avait déjà fait son chemin… « On vous ramène de la chair fraîche qui aime jouer à la pute les gars… » ma réputation était faite et mes 5 codétenus me reluquaient de la tête au pied en s'attardant bizarrement sur mes fesses. « On est en manque, il paraît que tu fais la poupée gonflable? » m'interrogeait l'un d'eux. Bizarrement ni peur ni inquiétude mais une extrême excitation m'envahissait et je faisais gagner du temps à tous le monde en me désapant et les invitant tous à me tendre leurs queues. Il y en avait pour tous les goûts: des longues, des grosses, des petites, des noires, des blanches, des circoncises, des tordues….j'étais comme chez Toys "R" Us avec plein de jouets pour me satisfaire. Un coup de langue par ci, une branlette par là puis une gorge profonde pour l'ami africain sacrément pourvu je ne décrochais plus, comme absorbé par la situation au point de ne pas m'être rendu compte qu'un camarade s'activait dans mon anus…bientôt suivi d'un de ses collègue puis d'un autre…je vivais mon premier gang-bang et comprenais enfin où le capitaine voulait en venir. Ma punition ( mais en était-ce vraiment une) dura 8 jours où de jour comme de nuit je subissais les assauts sexuels de mes copains de cellule pour mon plus grand bonheur. L'épervier n'était plus là, remplacé par d'autres rapaces encore plus affamés…

Dernière réponse le 24 avril
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Photo de Festuca
54 • Festuca
41 km • Versatile
a publié ce sujet le 23 avril
lopabites
64 • lopabites
C est hyper bandant. Faut que j aille me secouer maintenant. Faut que je me vide les couilles, je tiens plus
Le 24 avr
54 • Festuca
Waouh quel effet…j'espère que ça va mieux maintenant 🤪 • Le 24 avr