MARTIN....Mon bofils ds 19 ans
Mon dernier récit remonte aux 12 et août.
Je vous présente Martin : 19 ans.  185, 75 kg....très brun de peau et très poilu pour son âge...il est en STAPS. 1 ère année pour être ou prof, ou coach  ; bref, il sait pas trop encore.
C est un Garçon gentil attentionné serviable empathique et intelligent en plus...tout pour plaire...Et il plaît ; surtout aux meufs de son âge qu'on voit défiler ds sa chambre qu'on lui a aménagé,  au sous-sol, sa mère et moi dès qu il a eu 14 ans. Martin n est pas mon fils génétique mais le fils de ma Femme  ; mon bofils,  en fait.......
Tout va pour le meilleur des mondes jusqu'à ce  lundi17 février dernier  : sa mère,  ma Femme donc, part pour travailler à l l'hôpital,  pour son service de nuit...Moi. suis en vacances pour la semaine,  Martin,  en vacances pour 2 semaines. 
19 h30 : on dîne ts les deux tout en regardant la télé.  20 h 00 : on range,  et Martin, après  le traditionnel bisou, descend ds sa chambre,  2 niveaux plus bas. 
Je monte me doucher et redescend, en pyjama avec robe de chambre  pour m installer sur le bout du canapé pour regarder TV.........
21h 00..
Martin remonte...il grimpe au 1er étage pour prendre une douche... : Surprenant. car sa chambre en bas est tout confort. : Avec sdb, WC, TV, et accès direct sur la petite rue..
Mon feuilleton commence...Le voilà qui rapplique  et d un bond atterit sur canapé,  à l opposé de moi....il a ressorti  son vieux peignoir pourri,  celui qu il mettait qd il était plus jeune....il a bcp grandi depuis et  le peignoir est bcp trop petit désormais...
suis étonné qu il s installe car il a sa propre  télé  en bas, ds sa chambre.  
Bref, il prend place... Il s allonge,  sa tête sur mes cuisses. Sa position préférée,  en fait, quand il était plus jeune. Instinctivement,  par réflexe, disons paternel,  je caresse ses longs cheveux noirs....il se laisse faire comme qd il était gamin....
A un moment,  ma main s égare sur son torse poilu....c est tout doux et soyeux...je joue avec ses poils longs et fins...
Il ne dit rien. 
Et là,  erreur fatale : 
Mes doigts effleurent un téton. 
Un téton,  oui...
Mais un téton hypertrophié et hypersensible.....
Ce n est plus un Garçon de 12 ans,  désormais. mais un homme...
Un concentré de testostérones. 
Il frémit. tressaille,  se raidit....
Et moi, grand benêt. Je dis : eh bien,  dis donc, Martin,  t es vachement sensible à ce niveau là !!!
La réponse fusse.
Oui, et pas qu'à ce niveau...Et joignant le geste à la parole,  il prend ma main et l amène sur son sexe dressé et arrogant...(il est NU INTÉGRAL sous son mini peignoir d'ado.)
Et moi, toujours naïf  : mais, Martin,  kes ki t arrive ? 
Tu veux quoi ?
Réponse  : je te veux,  TOI !
Qqes secondes de flottement ds ma p'tite tête,  puis je réalise la situation. 
Réaction  : je me lève. Martin aussi,  et il se prend la 1 ere gifle de ma part  ; pas une caresse...une vraie baffe, avec les 5 doigts bien appuyés. 
Non mais !
Il ne s y attendait pas  : il frotte la joue rougie. 
Demi-tour et il part, furieux,  ds sa chambre 2 étages en-dessous.
Les portes claquent violemment.  Pas content. on dirait....
Finalement,  la télé  m 'agace et monte ds la chambre parentale au 1 er  et je me plonge ds mon magazine de bagnoles "Auto-Plus", grande littérature pour décompresser !!!!!!
1/4 d'heure se passe.  
Puis. J entends des pas ds l escalier en bois  qui craque : Martin,  FORCÉMENT. 
Qqs pas de le couloir, et plus rien  : suis pas idiot, : je comprends qu'il est la dernière la porte de la chambre.......
Martin. C est toi ?
Oui
Puis plus rien....
Ce m intrigue et ça m inquiète surtout..
Martin n a jamais eu le droit d entrer ds notre chambre. 
Et je déroge à la règle établie,  par faiblesse et par  regret de l avoir giflé..
VIENS MARTIN. ENTRE 
2 ème erreur de la soirée. 
Il entre...pas fier le Garçon,  plutôt timide et presque craintif...
Je tape sur le bord du lit. Il s'assoit.
Kes ke tu veux. Martin ? Et là,  il demande Pardon. Pas, le je m excuse, (sous-entendu. mais merde) mais la formule magique : je te présente mes excuses et  te prie de bien vouloir les accepter : la formule magique qu'on lui a apprise, qd on était minot.
Ahhhh, vu comme ça  : je suis faible,  moi aussi,  et l'invite à venir se blottir contre moi. 
Réaction immédiate  : il saute sur le lit  et ce grand Gaillard d'un mètre 85, vient se coller à moi. 
Je fond littéralement et le serre fort et lui fait un gros poutou sur les cheveux. 
Il ne bouge plus..L' instant est magique,  j avoue.....
Il le regarde droit dans les yeux et me gratifie d un gros smack dur la joue comme qd il était petit...
Le temps est suspendu  ; cbn de temps,  sais plus.
Sa main se pose sur mon torse 
 Me caresse tendrement..
Un geste d'une grande tendresse. 
Sa main chaude s'étale sur ma poitrine : et moi, je vois rien arriver : je prends ça comme un geste d'apaisement et de réconciliation...
Que je suis con, finalement !!!
Sa main s égare maintenant sur mon ventre poilu, certes, mais moins que  lui...
Je trouve ça encore normal...
Quand il fourrage avec ses doigts dans ma toison pubienne,  FORCÉMENT,  je réagis,  mais pas comme  j aurai dû : je soupire doucement d aise et j apprécie ses caresses...
J aurai dû me rebiffer et réagir  : rien de tout ça : Bien au contraire,  je le laisse faire docilement,  même quand ses doigts effleurent ma queue déjà au garde à vous : 
Je ferme les yeux. 
Il en profite pour me lécher du bout de la langue un téton....il a tt de suite repéré mes points sensibles, le bougre ! 
Je gémis. 
Il comprend. 
Je suis à lui.
Je m abandonne, sans vergogne.
 Je sais  : d'aucun diront que ça flirte avec l'inceste  ;
Mais l'idée ne m'a même pas effleuré une seule seconde...pour moi, j'étais avec un amant, plutôt expérimenté malgré son jeune âge.
Quand ses doigts ont emprisonné ma bite tendue,  j ai soupiré longuement de bien-être...
Et là,  les événements  ont pris une toute tournure  :
Il m a pris la main,  et doucement m a entraîné...je suis sorti de mon lit.  Il m a embrassé avec bcp de délicatesse.  J ai répondu à son baiser. 
VIENS. 
On a descendu les 2 étages. 
Qd je suis entré dans sa chambre,  son repaire,  comme il dit,  l odeur puissante de sueur mêlée à des odeurs de mâle, de testostérones et de sperme m'ont complètement fait chavirer.  Comme enivré. 
Il a fait tomber son mini-peignoir.
Et là,  surprise : c est un homme,  un vrai,  puissant,  sûr de lui,  qui me fait face, avec ses 17 cm dressés avec des couilles pendantes et très poilues.
Je ne reconnais pas du tout mon bofils adoré.  C est bete de sexe dominateur et arrogant qui me toise..
Il me pousse sur son lit complètement défait...il dégage une telle puissance que je m abandonne.
Il se couche sur moi. Son sexe contre mon ventre.  Il m embrasse goulûment. Il sait y faire le coquin. 
Une succession de petits bisous, il arrive à ma bite,  qu il effleure du bout des lèvres. 
Mais c'est pas ça qui l intéresse : il se met à 4 pattes, et d emblée, la pointe de sa langue vient fouiner ma raie poilue.  Putain,  que c est bon. Il lèche ma raie et,  forcément,  trouve ce qu il cherche : un me titille la rosette...longtemps.  il prend son temps,  le vilain. Je gémis doucement.  Et je m ouvre doucement,  délicatement...
Tu aimes,  Dad ?
Dad !
C est la1ere fois qu'il m appelle comme ça !
Si j aime  ? Oh que oui  !.
J ADORE Martin.
Je sens un doigt mouillé chercher l entrée.  Je comprends que ds son repaire,  y a pas que des filles qui sont venues.  Il sait y faire bougre.
C est la 1ère fois  que je réagis qd on me titille la prostate.  Je crie presque. 
PRÊT DAD ?
j ai compris. 
Il ouvre son chevet,  sort un petit flacon de gel.
Il m enduit. C est froid.
Il mets mes jambes sur ses épaules, et présente son gland. 
Il pousse doucement. 
Ca va Dad ?
C est bon Martin. Vas-y,  mais doucement stp.
Il me respecte.  Il se couche sur moi. 
M'embrasse. 
Qd je sens sa toison soyeuse me chatouiller,  je comprends qu'il a pris possession de moi. 
Le mâle alpha,  c est lui.
Moi, réduit à un rôle de salope : je le comprends à son sourire ravageur et carnassier.  
Il me possède. 
Qd il entame ses vas et viens,  le sourire devient rictus, je suis sa chose. Il me prend sauvagement.  
Qd on me fait mettre à 4 pattes, et qu 'il  me chevauche et me perfore sans ménagement,  j ai compris que le chef, désormais,  c était lui. 
En plus, ce petit con est endurant. 
Qd enfin. Il m annonce  : je viens : il  m'ensemence. Un cri rauque de lion blessé et il m ensemence de plusieurs giclées puissantes..
Il reste en moi,  histoire de bien faire-valoir son autorité. 
Il ressort,  va de sa sdb.
Bonne nuit. 
Voilà à quoi j ai été réduit..
J ai été,  et aimé,  faut bien avouer, son sac à foutre durant tte sa semaine de vacances...
Puis...Plus rien.  Plus un mot, plus un geste déplacé.  RIEN. 
j ai voulu aborder le sujet en douce, une SEULE fois .
Réponse  : suis pas une tafiole, MOI !
Nos relations se sont FORCÉMENT un peu peu tendues.  Plus rien n est plus tt à fait comme avant.  
Ma faute,  sa faute ? 
La faute des 2, sans doute.
Dommage......🤔🤔🤔
🖐
 
											 
         
                     
         
         
         
         
         
         
         
         
         
         
         
         
         
                                 
         
         
         
         
         
         
         
                                 
         
         
         
                             
         
                                 
         
         
                             
        