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QUAND FESTUCA RENCONTRE BAROUDEUR3: L'entremet (chapitre 4)

Le soleil était au zénith, et je sentais que mon sexy pote se livrait un peu mieux encore à l'ange que je suis.
Il était important que je puise faire découvrir la corse à Jean-Louis. Kalliste, cette corse authentique tant vantée, la plus belle des îles méditerranéennes.
Celle qui servirait naturellement d'écrin à notre première rencontre après plus d'un an d'échanges virtuels mais terriblement prometteurs.

Parfois aride... ce bout de rocher posé dans la mer, avec ses villages nichés à flanc de collines ;
Je souhaitais que mon amant la connaisse en profondeur.
Comme il avait pu découvrir ma prédilection pour mon immersion inopinée dans son magnifique cul de mec. Festuca dilatait sa rosace à nul autre pareil. Avec envie force et ambition, qui le caractérisait, pour faire de mon gland turgescent à loisir, son hôte privilégié dans son divin fourreau. Un peu comme s'il me rendait la pareille, un échange de bons procédés, pour l'accueil qui lui était réservé.

Une corse aussi parfois douce...et colorée, avec ses marines abandonnées au ressac de ses côtes. La même ou je m'abandonnais avec Festuca. Vêtus d'un simple short, notre balade gourmande, nous faisait déambuler dans des vergers sauvages à ciel ouvert où l'arbouses, côtoie la menthe persane, les figues, les châtaignes sucrées, les raisins gorgés d'un pertinent soleil. Nous nous arrêtâmes sur un petit muret de pierres sèches. Le point de vue, avec la mer qui s'éloignait paisiblement, était à couper le souffle.
Je sentais que mon bel amant avait envie de se poser.

Je regardais Fetuca.

Je lui demandais de fermer les yeux. Cueillant juste au dessus de nos têtes ces quelques petites figues noires, que je m'empressais de faire goûter à mon hôte. Je ne pus résister à l'envie de lécher et boire ce coulis dense qui glissait de sa bouche suave et offerte, et qui finissait sa course en perlant sur ses tétons que taquinaient un soleil jaloux en concurrence avec ma langue.

Je le regardais, humer ces parfums environnants. Narines dilatées à l'extrême, et gorgées de phéromones, me caressant la nuque, une légère brise plaquait le tissu de son short qui arborait une belle petite bosse à l'image de sa sexy petite bite - que j'adore- qui ne demandait qu'à sortir de sa gange prepucée. Je lui retirait alors son short, le laissant entièrement nu. Le décalottant subrepticement. Je souhaitais qu'il puisse goûter à ce lâcher-prise. Comme pour mieux m'imposer comme son guide local privilégié. Le paysage m'y aidant amplement.

Je sentais mon brun totalement desinhibé et offert.
D'une voix directive, je lui demandait de se mettre à mes pieds, jambes écartées, tête bêche. Un lit de fougères offrait à ce beau bestiau de cent dix kilos, qui ne demandait qu'à se faire enculer, un promontoire de choix. Je n'allais pas lui donner ce plaisir sur l'instant. Le laissant prendre conscience qu'il était totalement connecté à cette terre naturelle, comme un besoin de l'homme, de cet animal dans son milieu naturel ambiant. Un peu comme un retour à la source. Offert à mes désirs. Des fougères, sous l'action de la brise, claquaient ses fesses boules et son fion qui se dilatait à l'envie. J'en profitais pour glisser à la dérobée trois petites figues dans son cul, pour farcir mon cochon.
Mon pied posé sur lui accentua son attitude de soumission, et d'instinct, Festuca se mit à me lécher l'autre pied.
Sa langue lissait les poils de mes jambes et venait quémander la mouille s'écoulant de mon prépuce. Prenant sa tête entre mes mains, je poussais mon sgueg dans sa bouche charnue, et la lui baisait à loisir. Je ne tardait pas à éjaculer par trois grand jets de crème qui désaltéra mon bel amant, qui ne tarda pas à jouir à son tour. Je m'approchais alors de Jean-Louis pour le laver de ma langue bienveillante, tel un mammifère se souciant de bien être de son comparse. Collés l'un à l'autre, nous faisions corps avec ce paysage parfois suave.

Entre deux, le ciste protégeant la délicate immortelle et le genêt arborescent. Mais toujours avec ce goût d'authenticité...comme nos fluides naturels, nos baisers appuyés tantôt suaves, tantôt terriblement virils sexuels et baveux. Ce goût prononcé pour le naturel, ce respect imposé... comme si le temps s'était arrêté dans cette balade... Comme le naturel avec lequel deux hommes peuvent se laisser aller, à leur envie respective, en assumant pour eux ce plaisir charnel partagé, dans le secret bien gardé d'un maquis consentant et complice. Un peu comme une projection subjective sur cet autre. La domination n'étant qu'à quelques ridicules encablures de la soumission.

C'est aussi l'endroit où l'on privilégie cette propension à tutoyer le fameux CARPE DIEM... Vous savez, celui qui ne se dévoile qu'a ceux pour qui... il est familier ou tente de l'être, Ou pour ceux qui ont cette curiosité saine... de l'approcher, de l'apprivoiser, de le chérir. Ou mieux encore... pour ceux qui vont essayer de le vivre. Comme mon craquant Jean-Louis. Cela ne s'improvise pas, monsieur, cela se vit... Autarcie, autarcie quand tu nous tiens.... !
Au détour d'un massif de genêt en fleurs, une source nous permit de nous désaltérer. Et la balade gourmande se poursuivait en direction de la bergerie...

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Dernière réponse le 11 juin
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Photo de Baroudeur3
55 • Baroudeur3
968 km • Versatile
a publié ce sujet le 09 juin
manbastia2b
54 • manbastia2b
La suite stp
Le 09 juin
55 • Baroudeur3
Salut. La suite est en gestation... elle va t'arriver promis. Juste le temps de te tenir en haleine... 😉 • Le 10 juin
Festuca
54 • Festuca
Comme j'aime être un personnage de l'histoire celui dont on retiendra qu'il gardait en son cul 2 figues bien juteuses….j'en ai bandé sec 😀…Merci d'avoir joué le jeu et d'avoir poursuivi l'histoire pour un 4eme volet plein de sensualité.
Le 09 juin
55 • Baroudeur3
Je t'en prie... plaisir partagé. Mais cela été un plaisir de participer comme on le dit chez nous au " Chjama è rispondi " littéralement à "l'appel et la réponse" jeu d'esprit et d'improvisation. Cela a même valu des concours, de joutes oratoires piquantes parfois, mais terriblement savoureuses.
Oui oui la sensualité je suis tombe dedans étant petit... Très agréable que de te lire aussi.
Au demeurant, il s'agissait de trois figues et non deux... te sachant gourmand 🤣👍
Au fait, je te re laisse la main... ou plutôt la plume. 😉
• Le 09 juin
Festuca
54 • Festuca
Je reprendrais la plume pour une fin décapante à tendance psychiatrique…suspens 😃
Le 10 juin
Eric56600
53 • Eric56600
Que c'est beau l'autosatisfaction voire le nombrilisme 🤩
Le 10 juin
55 • Baroudeur3
Je laisserai répondre Festuca... mais si le nombrilisme consiste à apprécier 2 ou 3 figues dans le cul... ou est le problème ? E C'est du second degré. Pas la peine d'aller dépenser des milliards pour aller sur Mars.... comme une impression que nous sommes pas mal de martiens les uns pour les autres. • • Le 10 juin
54 • Festuca
Si le nombrilisme est l'art de lécher un nombril alors c'est Ok pour moi…. • Le 11 juin
54 • Festuca
D'ailleurs le nombriliste a publié le dernier chapitre….ne le lit pas 😃 • Le 11 juin
55 • Baroudeur3
😂 pourquoi ? Au contraire il aura peut être la réponse... ou pas. 👍🤣🤚 • Le 11 juin
54 • Festuca
Ou pas 🤐 • Le 11 juin
55 • Baroudeur3
Nombriliste 😵‍ • Le 11 juin
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