Une Chienne en Chaleur dans les Bois ( avec des jumeaux )

C'est devenu mon rituel hebdomadaire, une pulsion que je ne peux plus réfréner. Je m'appelle Jo, 35 ans, mais avec mon corps frêle de twink – 1, 70 m, 50 kg, peau lisse sauf mes jambes poilues comme celles d'un faune – on me donne souvent 10 ans de moins. Visage fin, cheveux noirs coupés ras, je suis une petite salope qui kiffe se faire démonter par des mâles en rut. Ce soir-là, dans le Sud-Est de la France, je décide de partir en chasse, comme une bête affamée de queue. Pas de spot fixe, j'aime l'imprévu, l'exhibition là où personne ne s'y attend. Il est 18h, le crépuscule enveloppe une forêt bourrée de joggeurs, et moi, je suis prêt à faire monter la température. Mon t-shirt relevé jusqu'au nombril dévoile mon ventre plat, mon jean descendu sous mes fesses laisse entrevoir mon cul bombé, rasé de près, une invitation claire à la débauche.
Je déambule sur le sentier, provocant, aguicheur. Les regards des mecs qui passent me transpercent : certains crachent leur mépris, d'autres laissent leurs yeux traîner, troublés, excités. Moi, je joue le jeu. Dès qu'un mâle costaud croise mon chemin, je m'arrête, je cambre mon cul comme une chienne en chaleur, je le mate droit dans les yeux, puis je reprends ma marche, la démarche chaloupée, les fesses frémissantes sous le tissu tendu.

Une vingtaine de minutes plus tard, un mec me dépasse, la quarantaine bien tassée, genre ours viril. Barbe grisonnante, musculature de taureau, jambes épaisses comme des troncs, sculptées par des années de marathon ou de natation – pas un poil sur ses cuisses lisses. Son débardeur moule des pecs saillants, son short riquiqui laisse deviner une bosse prometteuse entre ses jambes. Il me lance un regard de prédateur, un sourire vicieux au coin des lèvres. Je bombe le cul encore plus fort, mais il continue son chemin. Pas pour longtemps. Quelques minutes après, le revoilà, il repasse devant moi, et cette fois, je sens que ça va se concrétiser. Ses yeux me déshabillent, sa langue passe sur ses lèvres. Sans un mot, je bifurque hors du sentier, m'enfonçant dans les bois. Il me suit, comme un loup flairant sa proie.
Dans une clairière isolée, je m'arrête. Il s'approche, massif, imposant. Ses mains calleuses se posent direct sur mon cul, le malaxent avec force, écartent mes globes charnus. Un doigt épais glisse dans ma raie, titille mon trou serré, puis s'enfonce d'un coup sec. Je gémis, déjà trempé d'excitation. Il me doigte brutalement, élargissant mon anus avec des mouvements experts. Puis il me fait pivoter, plaque sa bouche sur la mienne et m'enfonce sa langue, une pelle baveuse qui me fait tourner la tête. Il ouvre son short, libérant une queue monstrueuse : 19 cm de chair épaisse, veinée, presque glabre, un gourdin lourd qui pend entre ses cuisses musclées. Je tombe à genoux, salivant comme une pute affamée. Ma main droite le branle pendant que ma bouche engloutit son chibre. Je le suce goulûment, ma langue danse sur son gland gonflé, descends le long de sa veine palpitante, avalant son manche jusqu'à ce que mes lèvres frôlent ses couilles pendantes.
Il arrache son débardeur, dévoilant un torse de dieu grec : pecs bombés aux tétons minuscules mais durs comme des cailloux, épaules larges, biceps gonflés à bloc, un ventre plat qui plonge en V vers sa bite. Je le pompe à fond, gorge profonde, mes gloussements étouffés par sa viande. Il donne des coups de reins, me baise la bouche comme un sauvage. Au bout de trois minutes, je me relève, m'appuie contre un arbre, cambre mon cul en offrande. Il crache un gros mollard sur mon trou, étale sa bave avec son gland violacé, puis s'enfonce en moi. Sa queue massive force mon anus, centimètre par centimètre. Il s'y reprend à plusieurs fois, mais finit par m'empaler complètement. Je hurle de plaisir, mon cul s'écarte sous la pression de son engin. Il entame une baise rythmée, ses coups de reins font claquer ses couilles contre mes fesses, sa bite me remplit jusqu'au fond.
Je gémis comme une salope, et ça attire du monde. Un joggeur, la quarantaine, baraqué, barbe brune et mâchoire carrée, s'approche, hypnotisé par le spectacle. Il mate la queue qui me déchire sans capote, sort sa propre teub et se branle frénétiquement. Mon baiseur retire sa bite, dégoulinante de mes sucs, pour la lui exhiber. Le mec siffle, impressionné par le calibre. En deux minutes, il jouit, projetant des jets de sperme épais sur la queue de l'actif et sur mon cul offert. Mon amant récupère le jus avec ses doigts, l'étale sur sa bite luisante et me pénètre à nouveau, lubrifié par la semence d'un inconnu. “Le foutre de ce mec sur ma queue, ça me fait bander encore plus fort, ” grogne-t-il en me pilonnant comme un marteau-piqueur. Le voyeur se barre, et lui continue de me défoncer, endurant, infatigable. Mon cul claque sous ses assauts, mes cris résonnent dans la forêt.


Alors qu'il me lime encore, deux silhouettes émergent des buissons. Je tourne la tête et découvre deux mecs identiques, des jumeaux, putain ! Mon coeur s'emballe, mon excitation explose. Blonds, cheveux mi-longs coiffés en arrière, 1, 80 m de virilité brute. Le premier, barbu, a des pecs dessinés et des abdos taillés sous une chemise ouverte. Le second, moustachu, plus enrobé, arbore un torse velu et un ventre légèrement rebondi. Tous les deux portent des shorts de plage flashy, tendus par des bosses obscènes, et des baskets Adidas usées. Ils s'approchent, torse nu, pantalon baissé, et sortent leurs queues : celle du mince, 18 cm, épaisse, surmontée d'un pubis broussailleux et de couilles énormes ; celle de l'autre, 20 cm, fine mais raide, jaillissant d'une touffe sauvage.
Mon baiseur finit par jouir en moi, cinq giclées brûlantes qui me remplissent à ras bord. Il tasse son foutre avec sa bite, puis se retire, laissant mon trou béant dégouliner de sperme sur les feuilles mortes. Il me claque le cul, m'embrasse avec une langue gluante et disparaît. À peine est-il parti que les jumeaux fondent sur moi. Le plus enrobé m'attrape, m'enfonce sa langue dans la gorge pendant que son frère me pétrit les fesses. Ils me font tourner comme une poupée, me plaquent leurs torses poilus sous le nez. Je lèche leurs pecs, aspire leurs tétons, plonge ma langue dans leurs aisselles trempées de sueur, un mélange âcre et enivrant. “Montre-nous à quel point t'es une salope, ” grogne le barbu. Je m'applique, léchant leurs corps comme un chien affamé.
Ils me jettent leurs queues sous le nez. Je les suce à tour de rôle, alternant entre les glands luisants et les hampes raides, tandis qu'ils me balancent des claques, d'abord légères, puis cinglantes. “Ouais, pompe bien, petite pute, ” ricane le moustachu. Je cambre mon cul, et leurs mains s'emparent de mes fesses, les écartent, fouillent mon trou encore gluant du sperme de l'autre. Ils crachent dessus, m'insultent, me bourrent de doigts. Le barbu m'embroche d'un coup, sa queue épaisse me déchire dans un bruit mouillé. Il me plaque contre l'arbre, ses hanches claquent contre moi, pendant que son frère me gave la bouche avec sa longue bite fine. Ils s'embrassent au-dessus de moi, leurs langues se mêlent dans un ballet obscène qui me rend dingue.


Le barbu me pilonne, sa queue baigne dans le foutre de son prédécesseur. “Trop bon ce cul crémeux, ” grogne-t-il. Il cède la place au moustachu, qui m'enfile lentement, savourant chaque centimètre de mon anus distendu. Puis il accélère, me démonte avec une sauvagerie bestiale, ses couilles lourdes giflent mon périnée. Ils alternent, me baisent comme une poupée gonflable, me crachent dessus, me fessent jusqu'à ce que mes joues soient écarlates. Après vingt minutes de carnage, le barbu jouit en moi, cinq jets puissants qui éclaboussent mes parois. Son frère prend le relais, me bourre dans son sperme encore chaud, et explose à son tour, sept giclées qui me remplissent comme une outre.
Ils me font nettoyer leurs bites dégoulinantes, puis se rhabillent. “T'es une bonne chienne à jus, ” lâche le barbu en partant. “Un trou à foutre parfait, ” ajoute l'autre avec un clin d'oeil. Je reste là, cul explosé, sperme ruisselant le long de mes cuisses, comblé et humilié, une femelle offerte aux mâles en rut de la forêt.

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Dernière réponse le 24 avril
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Photo de lopeducoin
36 • lopeducoin
434 km • Passif
a publié ce sujet le 27 février
Aimelaqueue06
33 • Aimelaqueue06
Belle histoire !
C'était où dans le sud est de la France ?
Le 28 fev
Ggbi
51 • Ggbi
Histoire déjà lue ailleurs, dommage
Le 28 fev
Hommecoquin
68 • Hommecoquin
Hummm cette histoire m'a très excité. J'aurais aimé être dans ce bois pour te baiser à mon tour comme une chienne
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Le 28 fev
53 • SeulpourToi
Je veux bien • Le 28 fev
Tutur29
50 • Tutur29
Très bandante cette histoire
Le 28 fev
bluepink
61 • bluepink
Super histoire...bien racontée...on bande d'imagination!
Le 28 fev
Quipretesaqueue
40 • Quipretesaqueue
Dommage déjà lu cette histoire hier sur le site Cyrilo
Le 28 fev
poiluactif
59 • poiluactif
Exitant
Le 28 fev
fred79320
43 • fred79320
Cc superbe histoire et jolie mec etjolie jumeau
Le 28 fev
luc85
57 • luc85
Sympa et bandant, on s'imagine a la place de l'auteur.bien écrit
Le 28 fev
Vidoc83
62 • Vidoc83
J aurais aimé être à ta place hummmmm
Le 28 fev
gwada77
50 • gwada77
Très belle histoire. je t'envie ; je vais très souvent dans le bois, je passe des heures à déambuler en faisant ce rêve qui ne se réalise pas.
Le 28 fev
Domini64
64 • Domini64
Belle histoire je kiffe et en plus avec des jumeaux bien monté
Le 28 fev
Papillon17
54 • Papillon17
Belle salope
Le 28 fev
Passdocile
59 • Passdocile
Quel pied ça doit être un plan comme ça ! J'en rêve 🔥
Le 28 fev
Boal
50 • Boal
Superbes tes photos
Le 28 fev
Lopeadefonce26
27 • Lopeadefonce26
Trop bandante ton histoire
Le 28 fev
GCCTOUT
70 • GCCTOUT
Rien que pour l'écriture, j'adore... Bien écrite cette aventure qui crée l'envie de rencontrer des mâles qui aiment l'autre..
L'autre qui se donne pour créer le désir et la jouissance...
Merci beaucoup pour ce beau texte..
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Le 28 fev
Latex/cuir
73 • Latex/cuir
Belle histoire, ça sent le vécu mais des jumeaux, c'est plutôt rare, par contre, j'avais rencontré 3 fréres, séparément bien sur, l'un aprés l'autre, je n'ai su plus tard qu'ils étaient fréres parce qu'il n'y a avait pas trop de ressemblance
Le 28 fev
SeulpourToi
53 • SeulpourToi
Belle histoire. Même si je l'ai déjà lu mais version 2 potes et non des jumeaux. Ca reste plus excitant des plans famille ayant eu l'occasion d'y participer
Le 28 fev
50 • Boal
Raconte ! • Le 28 fev
53 • SeulpourToi
Je ne suis pas bon écrivain • Le 24 avr
Evens
31 • Evens
Vous êtes ou
Le 28 fev
TeSucer
56 • TeSucer
MMMmmmmm trop bon..., vivement le printemps, l'été, qu'on puisse baiser sous le soleil, à l'ombre, sous les étoiles, jadore ! Mais il y a de plus en plus de promeneurs, partout 😤😡
Le 28 fev
MasseoufesseHom
55 • MasseoufesseHom
Vraiment sympa ton récit, très excitant
Le 01 mar
h2607
58 • h2607
Tjr excitant ces sous bois...avec leur faine qui traine et mate...j ai adoré ces plans là
Le 01 mar
Moi3086
44 • Moi3086
Trop bon cette histoire ! Des jumeaux, le rêve !
Le 02 mar
Fanch56
43 • Fanch56
Sympa ton histoire et t vraiment sexy
Le 14 mar
Daddy's-coquins
53 • Daddy's-coquins
Hummmm excellent.. hâte de te lire de nouveau
Le 16 avr
Uxoq
74 • Uxoq
Superbe et les photos, ah ces mecs !
Le 16 avr
SansModeration
46 • SansModeration
Tu dois aimer aller au trou à Lyon
Le 23 avr
Lopeamales4953
42 • Lopeamales4953
C'est tellement kiffant d'être traité de la sorte 🤩🤤
Le 23 avr
xralph93
45 • xralph93
Kiffant
Le 24 avr
lopabites
64 • lopabites
Sier beau. J aurais j'apprécie être a ta place
Le 24 avr
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